Printemps confiné |
Depuis mon cocon sombre bien calfeutré jaillit par la fenêtre l’éclatante invitation du printemps à la vie… comment imaginer ce que masque cet éblouissement ?
Jardin depuis la cour |
Allongée sur un transat dans la cour ma seule échappatoire est vers le haut. Le contraste facile des couleurs de la nature contre le gris humide de la cour tait pourtant la profondeur spatiale des jardins et sous-bois devenue perceptible par le chant intensifié des oiseaux sur fond de silence urbain.
Ombres dansantes sur les troncs du noisetier |
Vite saisir, l’ombre tremblante des feuilles sur les troncs du noisetier.
Chat sur mes genoux
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